Inquiet du procès ourdi dans les pages de Valériane à l’encontre de certaines plantes généralement d’origine exotique – lire notamment l’article intitulé La recherche universitaire s’intéresse aux plantes invasives dans Valériane n°52 – , un de nos plus fervents collaborateurs nous adresse la réaction qui suit. Accorder à des plantes de prendre langue procède certainement d’un désir de justice particulièrement exacerbé, d’autant plus chimérique – reconnaissons-le ! – qu’il faut bien que l’Homme qu’elles dénoncent avec verdeur le fasse à leur place… Une pièce intéressante, quoi qu’en jugent par ailleurs nos chers lecteurs, à verser au dossier séculaire du rapport passionnel qu’entretiennent les Hommes avec les plantes et la nature en général…