Le Kasterlinde : un vestige, mais bien vivant !

Au temps où Bruxelles bruxelait, certaines communes limitrophes abritaient des arbres vénérables. Certains ont survécu, tels le Tilleul de Boendael à Ixelles (voir Valériane, n°48, de juillet-août 2004) ou le chêne Joséphine à Forest (voir Valériane, n° 89, de mai-Juin 2011). Mais bon nombre de wel-bekende bomen ont disparu, privant la capitale de points de repères autrefois bienvenus. Plusieurs d’entre eux étaient, en effet, situés sur des hauteurs qui les rendaient incontournables