On invoque bien souvent, et à raison, les vertus médicinales encore insoupçonnées du vivant pour justifier la conservation des milieux naturels menacés et des espèces qu’ils abritent. Ce qui nous entraîne généralement aux antipodes, en pleine forêt pluviale, où se rencontre la plus grande biodiversité. Des milieux si éloignés de notre quotidien que bon nombre d’entre nous ont bien de la peine à se sentir directement impliqués.