Le 11 mars 2011, la destruction de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi – ne pas confondre avec Fukushima Dai-ni qui n’a été que faiblement endommagée – fut causée par un séisme d’une magnitude 9 sur l’échelle de Richter et par le tsunami qui a suivi. Deux ans après, alors que les médias n’ont, semble-t-il, plus rien à ajouter à leur sujet, le désastre et l’angoisse restent entiers au Japon. Le point, en compagnie de Christian Steffens, ingénieur industriel, consultant indépendant en énergétique, électricité et électronique, et spécialiste des questions nucléaires…