Est-il possible de penser bio juste dans un petit coin de sa tête et de laisser errer le reste dans un total mépris de l’homme et de l’environnement ? Sans doute pas. Celui qui a, un jour, entrepris de relever la tête pour scruter ce qui vit autour de lui n’aura jamais plus envie de la rabaisser. Celui qui mange bio, cultive bio, habite bio, roule bio… Il voudra penser bio jusque dans l’ultime repli de sa matière grise…