A nos yeux désormais, la vieille question des OGM n’est plus qu’une simple mais cruciale partie de la grande question des semences, une sorte de face sombre qu’il nous faut redouter. La souveraineté alimentaire, un contrôle plein et entier du citoyen sur ce qui compose aujourd’hui son assiette, ne peut avoir de sens que s’il connaît et approuve l’ensemble du cycle des plantes qui la garnissent ou qui composent les rations des animaux qu’il mange. Mais quelles motivations nouvelles puisons-nous dans ces questions ? Quelles promesses de transformation sociale une association telle que la nôtre peut-elle y trouver ? Prend corps à partir d’elles, sachons le voir et le comprendre, une vision toute neuve de la transition écologique qui s’annonce. C’est global, et c’est puissant…