Où en étions-nous restés ? Ah oui ! Je me souviens. C’était en juillet, il faisait particulièrement chaud. Nous cuisions en terrassant. Puis est venu le mois d’août où il n’a pas arrêté de pleuvoir une seconde. Notre belle paille est donc restée sur le champ, inutilisable, pour la construction du moins. Il faudra que nous en déroulions quelques rouleaux bien secs pour la ballotter bien serrée. Mais cela, c’est une toute autre affaire que je vous conterai dans Valériane n°63 avec toute l’aventure, encore à venir, de l’édification de nos murs en ballots de paille…