Coopératives de producteurs, coopératives de travailleurs, coopératives de consommateurs : les exemples ne manquent pas qui montrent aujourd’hui combien cette forme de société qu’est la coopérative convient à merveille au développement de la bio, à l’éthique même de la bio. Il n’aura, d’autre part, échappé à personne qu’un bio commercial, un bio de capitaux, profite allègrement du mouvement général vers une alimentation de qualité. Mais quelle est la différence, où la chercher ? Une bonne partie de l’explication réside dans les propos du professeur Jacques Prades, que nous rapportions dans les pages de Valériane n°103, au sein d’un article intitulé : « Les coopératives, clé d’une nouvelle théorie des limites« . Qu’est-ce à dire ?