Je suis allé en Vorarlberg ! J’y suis parti avec des pieds de plomb, juste avec le sentiment qu’il « fallait y aller ». J’en suis revenu ébloui ! Quelle alchimie a donc bien pu se produire pour transformer cette accablante perspective en conte de fée que je partage, depuis mon retour, avec les personnes que je rencontre et qui sont sensibles à l’éco-bioconstruction ?