« Jouissance du temps, des lieux, la marche est une dérobade, un pied de nez à la modernité. Elle est un chemin de traverse dans le rythme effréné de nos vies, une manière propice de prendre de la distance et d’affûter ses sens. » Ces quelques lignes découvertes au dos d’un petit ouvrage déniché en librairie m’ont plongée dans L’éloge de la marche, de David Le Breton (1).