Aujourd’hui, les organismes génétiquement modifiés (OGM), ou plus pudiquement dit améliorés (OGA), sont virtuellement dans nos assiettes, et cela malgré les risques qu’ils font courir à l’homme et l’environnement. Il faut dire que l’enjeu est de taille. Dans une récente édition, le journal agricole « Le Sillon Belge » chiffrait le marché des plantes transgéniques à 90 milliards de FB. Mais des estimations parlent de 1500 milliards de nos francs à partir de l’an 2000. le temps est donc venu de faire un point de la question.