« Quel plaisir y a-t-il à avoir un noyer dans son jardin ? », se demande Hugh Johnson dans le grand livre international des arbres. « Il n’y a pas d’arbre plus modeste, il est le premier en hiver et le dernier au printemps à être dénudé. » On serait bien en peine, en effet, d’attribuer au noyer un rôle ornemental. Pourtant, les raisons qui poussent à le planter et à l’apprécier ne manquent pas.