Se pencher sur les jardinières, c’est poser un regard sur les plus petits des jardins. Des jardins où la profondeur de la terre se compte en centimètres. Des jardins qui attendent plus qu’une pluie céleste. Des jardins qui additionnent le plus de fleurs au décimètre carré. Ce sont les plus artificiels des jardins, ceux dont la survie est plus dépendante des gestes du jardinier que de ceux de dame Nature.