La ville est, par définition, le paradis du béton et le summum de l’artificialité. La présence d’éléments de la nature, tels les végétaux, y paraît donc incongrue. Pourtant, qui n’a jamais observé une pousse verte entre deux pavés, une tige fleurie jaillissant d’une craquelure de l’asphalte ? Ces manifestations de la nature prennent d’autant plus de force qu’elles sont inattendues dans les lieux urbanisés.