Retrouvons notre juste place au sein du vivant : le dossier du précédent numéro de Valériane a pu vous intriguer, susciter en vous de prometteuses vibrations… Le voyage ne fait que commencer. Car, pour co-oeuvrer à une « Terre en paix », il nécessaire de recourir à une économie vivante qui change nos comportements et nos façons d’agir. Nous y consacrerons deux articles, dans ce numéro et le suivant…
Renouons le fil de nos idées. Demain se crée aujourd’hui, pour les générations qui nous suivront, par « Nous Tous Solidaires » qui œuvrons à une « Terre en paix » via des lieux et des actes connectés aux vivants. « Terre en Paix » est une œuvre de longue haleine qui découle naturellement des générations précédentes au sein desquelles certains individus ont déjà œuvré à son avènement…
Participer à « Terre en Paix » permet d’installer les prémices d’une autre façon d’être au monde. Un quartier et différents lieux totalement respectueux du vivant entendent aider les humains à recontacter leur essence, à agir et à créer des emplois novateurs dans une véritable économie d’échanges, une économie vivante qui administre la Terre, notre seul habitat, de façon pérenne. L’économie vivante ne se base pas uniquement sur les humains ; les lieux et leurs particularités sont également essentiels et importants.
Dès lors, des lieux-phares se sont dits qui accompagnent les humains dans leurs transformations intérieures indispensables pour qu’ils soient sur la longueur d’onde d’un grand espace en partie boisé, proche de la ville, qui s’est révélé il y vingt-et-un ans pour y créer un quartier ville-campagne, autre en tout : autres comportements, autre urbanisation, autre architecture, autres techniques, autre mobilité avec de nouveaux moyens de locomotion, autre « école », une ferme pour une autonomie alimentaire, etc. Mais cela, nous en parlerons ensuite… En attendant, reprenons le dialogue où nous l’avions laissé dans Valériane n°135…