Avant l’agriculture, les humains considéraient les plantes comme propres à satisfaire tous leurs besoins, en particulier sur le plan alimentaire. Mais la « révolution néolithique » changea radicalement cette relation, en les incitant à ne considérer comme utiles que celles qu’ils cultivaient et à négliger, voire à détruire, les autres qui n’étaient plus alors que… « mauvaises herbes »!